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Patrick Cauvin : E=Mc², mon amour
Roal Dalh : Bizarre, Bizzare (+ oeuvres complètes)
Marion Zimmer Bradley : Les Dames du lac
Anne
Rice : Chronique de Vampires
Anne Rice : Nouvelles chroniques de vampire (Pandora, Vittoria, Armand)
Anne
Rice : Chronique des sorcières
Martin Gray : Au nom de tous les miens
Martin Gray : Le livre de la vie
Primo Levi : Si c'est un homme
Oscar Wilde : Le portrait de Dorian Gray
Oscar Wilde : Oeuvres complètes (nouvelles, poésie, De Profundis...)
Stefan Zweig : Oeuvres complètes (Romans, nouvelles, théâtre)
Edmond Rostand : Cyrano de Bergerac
JK Rowling : Harry Potter (tous !!)
André Breton : Nadja
Bernard Werber : Les Thanatonautes
Bernard Werber : L'empire des anges
Mika Waltari : Sinouhé L'Égyptien
Jean Markale : Le cycle du Graal (7 Tomes)
PG Wodehouse : Oeuvres complètes
Cioran : Syllongismes de l'amertume
Sacha Guitry : Bloompott
TEXTES DIVERS...
Un matin
J'aime ces instants précieux où tu touches mes lèvres.
Où tout mon corps s'éveille, ployant sous tes baisers
Et que dans mon sommeil je sens monter la fièvre
Amenant avec elle, la chaleur d'un été...
Ce matin la nature ma offert un sourire éternel
Celui qui pare une femme, soudain devenue belle
Grâce au regard amoureux qu'elle lit dans les pensées
De l'homme exceptionnel, couché à ses côtés
Ta douce force m'enveloppe comme un poison violent
Un miel mortel qui s'infiltre au fil des jours
Dans mon esprit, dans ma vie, dans mon sang
Un frisson, un souffle, un regard plein d'amour
Qui me fait te haïr un peu plus chaque instant
Je voudrais ne jamais avoir aimé
Pour tout découvrir entre tes bras
Oublier un trop présent passé
Et ne vivre à jamais que par toi
En attendant ce jour
Où je violerai les lois
Je pense à mon amour
Je pense infiniment à toi
***
Départ
Adieu mon amour étendu,
Dont la tête bouclée nimbe mon oreiller de serpents acajou
Nous allons nous quitter, départ qui nous alarme
Tes agates se plissent
Embuées de mes larmes
Tu me serres, tout m'étreint
Il faut pourtant partir, tu le vois, tout s'éteint
Je ne veux pas, mon coeur pressé d'amour,
Ose à peine respirer
Mes chairs encore tièdes meurent doucement,
Et t'implorent, mon Orphée, de me ressusciter
Déjà, des bras nous séparent, ils nous endorment
Nous empoisonnent
Mon amour, retiens mes mains qui se déforment
Morphée m'attrape
Déjà la veilleuse disparaît
Je m'endors près de toi. Mes yeux sont clos,
Tu n'es plus là...
Pourquoi la vie me fait-elle chaque soir,
Mourir dans tes bras ?
Poèmes de LL
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